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L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère

L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère

par | 11 décembre 2017 | Politique

Quarante chambres d’étudiants réservées aux migrants (mineurs isolés), exonération des frais d’inscription, accompagnement social et sanitaire. Voilà les clauses de la capitulation de la direction de l’Université de Nantes face à l’occupation menée, dans la faculté, par l’extrême gauche depuis plusieurs jours. Avec, de surcroît, l’annonce du président, Olivier Laboux, de ne pas souhaiter l’intervention des forces de l’ordre suite à la demande d’expulsion déposée devant le tribunal administratif et jugée ce lundi 4 décembre.


Depuis le 22 novembre 2017, dix salles de cours ont été « réquisitionnées » par l’extrême gauche pour y faire dormir plus d’une dizaine de migrants. Mais également pour en faire un espace « social », entre concerts, jeux, alcoolisation et rêveries militantes…

L’annonce qu’une quarantaine de chambres gérées par le CROUS (Centre régional des œuvres universitaires et scolaires) seront affectées en priorité aux migrants étudiants à partir du 1er février 2018 a du mal à passer chez certains étudiants français qui, eux, doivent se loger à des prix beaucoup plus élevés dans Nantes.

« L’Université de Nantes instaure la préférence étrangère au logement et à l’enseignement », peste William, en deuxième année d’histoire. « L’université va prendre en charge une bonne partie du coût de ces gens. Il faut savoir : ils sont mineurs ou pas ? Il ne me semblait pas qu’à 16 ans on entre en faculté, à moins d’être tous des surdoués… »

Ce dernier nous confie être dégoûté :

« Je ne comprends pas comment on peut rester aussi passif. Chaque jour qui passe, c’est une concession faite aux nouveaux arrivants, et une capitulation face à une extrême gauche violente, la même qu’on retrouve à casser en manif contre l’aéroport ou contre les violences policières. Et nous, avons-nous encore le droit de vivre et d’être aidés dans notre propre pays ? »

Du côté de l’Université de Nantes, nous avons tenté de joindre M. Laboux et son cabinet, sans succès pour le moment.

Le CROUS versera en sus une aide alimentaire aux migrants qui bénéficieront des 40 chambres universitaires. L’Université de Nantes s’engage aussi à accompagner gratuitement les migrants (pouvant justifier d’un diplôme donnant accès à l’enseignement supérieur) souhaitant effectuer une formation diplômante. Elle veut aussi faciliter l’apprentissage du français, « via le service universitaire des langues qui les accueillera et les orientera ». Un accompagnement social et sanitaire leur sera garanti. « Nous souhaitons répondre à ces situations humaines extrêmement douloureuses. Scolariser, former, c’est insérer durablement dans une société », justifie Olivier Laboux à 20 minutes.

Voilà qui viendra compléter la capitulation et les annonces de relogement, par Johanna Rolland, maire de Nantes, face aux pressions réussies (bien organisées et très médiatisées, sans aucune contestation) de l’extrême gauche nantaise, pourtant ultra minoritaire.

Les journalistes subventionnés ne savent plus quoi faire par ailleurs pour justifier, y compris l’injustifiable, c’est-à-dire l’immigration illégale :

Ainsi, le journal La Croix, prenant l’exemple des migrants à Nantes, évoque le cas de Moussa, qui aurait immigré du Mali – un pays pas en guerre – en raison simplement… d’un différend familial et d’une volonté d’aller à l’école :

« Issus majoritairement d’Afrique de l’Ouest (Guinée, Côte d’Ivoire, Mali, Congo…), ces adolescents ont bien souvent quitté leur pays pour fuir un milieu familial pauvre, parfois violent, et assouvir leur plus grand rêve : étudier. Comme en témoigne Moussa, venu du Mali, qui dort lui aussi à l’université : “Mon père a deux femmes et l’une d’elles ne m’aime pas. C’était difficile à la maison, et moi, j’ai toujours voulu aller à l’école”.

« Engagé dans un recours contre sa non-reconnaissance de minorité, il s’apprête à partir à Saint-Nazaire, où plusieurs hébergeurs vont l’accueillir à tour de rôle. “Si j’ai pris le bateau pour traverser la Méditerranée, avec des femmes et des enfants qui pleuraient à côté de moi, c’est pour enfin aller à l’école”, confirme à ses côtés Ibé, épuisé par son parcours d’exil. »

« Avec ce type d’argument, c’est le monde entier qui pourrait venir chez nous… », remarque Marie, une étudiante manifestement désabusée.

Breizh-info
05/11/2017

Correspondance Polémia – 08/12/2017
Source : breizh-info.com

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