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Quand deux journalistes du Monde découvraient l’islamisation de la France

Quand deux journalistes du Monde découvraient l’islamisation de la France

par | 20 février 2021 | Société

Par Maxime Jacob, diplômé de science politique, Gilet jaune et coauteur avec Fiorina Lignier du livre Tir à vue ♦ Trappes est au cœur de l’actualité avec le professeur Lemaire menacé de mort par des musulmans et placé sous protection policière depuis. Pour comprendre ce qu’est la vie dans un lieu où les musulmans s’imposent par leur nombre, nous allons revenir, pour Polémia, sur le livre enquête Inch’ Allah des journalistes du Monde Davet et Lhomme. Ce livre est composé d’une vingtaine de micro-enquêtes en Seine-Saint-Denis dans des lieux fort variés comme : le bureau des renseignements, l’aéroport de Roissy, une école, une entreprise privée, un guérisseur, la RATP… Au travers des chapitres, on découvre comment l’islam s’impose et les changements qu’il apporte dans ce département. Plongée dans un autre monde qui n’est plus français.

Le milieu scolaire

Sarkozy déclarait : « Je n’accepte dans nos écoles qu’il y ait des tables de juifs et des tables de musulmans. » Qu’il se rassure, ce n’est pas le cas en Seine-Saint-Denis. Les juifs ont fui ce département (l’antisémitisme de certains musulmans leur rendant la vie impossible). À la place, il y a des tables « de purs et d’impurs ». Les « purs » étant les musulmans qui ne veulent pas se mélanger avec les « impurs », comprenez les derniers petits Français. Une directrice d’école, Mme Decker, laïcarde convaincue, se désole de la progression de l’islam : « On pensait avoir gagné le combat contre les cathos, et là, on se retrouve à se battre une deuxième fois. » Elle livre de très nombreuses anecdotes, par exemple une stagiaire enseignante musulmane refuse de toucher les « mécréants » malgré ses mains gantées ! Les syndicats trouvent ceci normal. Enseigner en Seine-Saint-Denis, c’est aussi devoir composer avec des élèves qui vomissent car la viande de la cantine n’est pas halal, ceux qui sont affamés pendant le ramadan, les petites filles qui manquent de s’évanouir lors des périodes de canicule car elles ne peuvent pas se découvrir, sans oublier qu’il faut s’adapter au calendrier musulman car l’école est quasiment vide pendant les fêtes religieuses. À ce sujet, un professeur de collège rapporte que sur 144 élèves il y avait 143 absents le jour de l’Aïd. Le moins qu’on puisse dire, c’est que le taux de pratiquants est important…

La République vaincue

La République est complètement dépassée par ce qui se passe dans ce département. L’un des chapitres plus marquants est sûrement celui où le préfet Fadela Benrabia s’exprime. Elle constate que « les Blancs s’en vont, les Arabes non musulmans […] s’en vont aussi. Restent […] ceux qui acceptent de vivre avec […] pas de possibilité pour les femmes de se promener dans l’espace public… » ; que « des quartiers complets sont sous la coupe du halal » et « si vous voulez vendre du jambon ou du fromage ce sont des menaces ». En ce qui concerne les femmes, elles « sont obligées de mettre un voile alors qu’elles n’en mettaient pas avant » et « le nombre de gamines qui remettent le voile à la sortie du collège […] a explosé ». Le préfet Benrabia conclura son entretien par un inquiétant aveu d’impuissance : « … ça se répand, […] ça prend le pouvoir. »

La RATP, un bastion islamiste

Le chauffeur de bus de la RATP Samy Amimour, après un stage dans les rangs de l’État islamique en Syrie, sera l’un des terroristes du Bataclan. Ce cas est la partie émergée de l’iceberg islamique à la RATP. Certains chauffeurs refusent de serrer la main d’une femme, de conduire un bus après une femme ou prient sur leur lieu de travail (ce qui est interdit dans le service public). Force ouvrière a radié 200 de ses membres en 2014 pour non-respect de la laïcité. Résultat, aux élections suivantes, le syndicat Force ouvrière a été « grand remplacé » par un syndicat musulman communautaire. Le même phénomène existe aux élections municipales, c’est le candidat qui promet une mosquée qui remporte l’élection ; s’opposer aux musulmans, c’est la défaite assurée.

Mœurs étrangères à l’hôpital

« Ma femme peut crever mais au moins je suis en paix avec Dieu. » Voilà ce que dit un musulman au médecin qui lui explique que sa femme doit subir une césarienne. La procédure dans ce cas (assez fréquent) : contacter l’imam et espérer qu’il autorise l’opération. Pendant ce temps, la femme attend, en risquant sa vie et celle de son enfant. Mais, rassurez-vous, il y a des musulmans plus modérés qui se contentent seulement de demander un médecin du même sexe pour se faire ausculter. Ce n’est pas tout, les revendications religieuses concernent aussi le personnel : certains refusent, au nom de l’islam, de servir les repas avec du porc, de pratiquer les toilettes funéraires ou d’être sous l’autorité d’une femme. La gynécologue interrogée dans l’enquête constate aussi une augmentation du nombre de femmes voilées, des cas d’excision ou de mariages forcés. Elle doit aussi établir des certificats de virginité ou des reconstructions de l’hymen pour contenter des familles musulmanes.

Médecine alternative

Certains refusent d’aller à l’hôpital et préfèrent pratiquer la roqya, une « médecine » traditionnelle musulmane. Le raqui (le praticien) délivre du démon ou de la sorcellerie. Évidemment, ce n’est pas une médecine reconnue, elle est exercée clandestinement. La méthode de soin traditionnelle : lire le Coran et boire (beaucoup, jusqu’à 20 litres) de l’eau bénite à la façon islamique, c’est-à-dire où une feuille du Coran a trempé. Mais il y a des variantes à base de coups de ceinture, d’étranglement ou, pour les modernistes, d’électrocution. Les journalistes rapportent le cas d‘une femme morte lors d’une de ces séances. Il y aurait aussi des viols et des attouchements, mais tout ceci reste très secret dans la communauté musulmane.

Nous pourrions continuer longuement cette liste de changements qu’a apportés l’islam en Seine-Saint-Denis, mais ce serait trop long. Je vous conseille absolument la lecture d’Inch’ Allah de Davet et Lhomme pour en savoir plus. Aujourd’hui, la charia s’applique déjà en Seine-Saint-Denis, dans les Yvelines, à Marseille et dans de nombreuses autres grandes métropoles. Si rien n’est fait pour stopper la progression de l’islam, il imposera sa domination sur des territoires de plus en plus nombreux. Lire ce livre, c’est lire un message d’alerte. Le 93 est un laboratoire de l’islamisation de la France, nous ne pourrons pas dire que nous n’étions pas prévenus…

Maxime Jacob
20/02/2021

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