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Guillaume Faye : « Mes principes d’homme de droite »

Guillaume Faye : « Mes principes d’homme de droite »

par | 30 mars 2019 | Société

Avant son décès, la sentinelle aux frontières qu’était Guillaume Faye a eu le temps d’écrire un dernier livre : Guerre Civile Raciale.
Dans cet ouvrage, juste après l’introduction de Jared Taylor, Guillaume Faye livre à ses lecteurs ses 10 principes d’homme de droite.


1- Ce que dit et professe une idéologie ne doit pas être jugé selon le critère moral (« est-ce bien ou mal ? ») mais selon le critère expérimental de l’efficacité (« est-ce fonctionnel ou non ? »).

2- La plupart des idéologies, liées ou non à une religion, échouent pour une raison de méthode : elles vont de la théorie à la pratique, alors qu’il faut aller de la pratique à la théorie.

3- Le judéo-centrisme : une obsession creuse dont on ne peut clairement définir la cause, le sens, pas plus que les buts. Certains diront que la peur du lobby juif me fait écrire cela. Je n’ai peur de rien, et je vais bientôt mourir. J’ai compris au fil des années que la réduction antisémite de l’ensemble des problèmes actuels à la question juive est la forme la plus éclatante de complotisme contemporain.

4- On ne combat jamais seulement une religion, une idéologie ou une doctrine, mais d’abord des hommes réunis en un groupe, dont ils incarnent collectivement l’état d’esprit.

5- L’homogénéité ethnique est la condition de la paix civile et de la prospérité. Comme l’avait noté avec bon sens Aristote, la cohabitation pacifique et économiquement viable – sur un même territoire – de populations ethniquement différentes (cultures et origines) est en général impossible ; elle débouche la plupart du temps sur des conflits incessants, puis sur la guerre civile, où systématiquement, l’envahisseur essaie de prendre la place des autochtones.

6- Dans une société ou un pays, seule une très petite minorité allogène peut s’intégrer, par mimétisme et renonciation à son identité originelle. Au-delà d’un certain seuil numérique – plus de 2% de la population, en général – ce sont désordres et conflits assurés, avec ghettos inévitables se formant peu à peu, chacun voulant se regrouper avec ses semblables ; l’assimilation et l’intégration sont impossibles entre deux cultures différentes, surtout quand un fort facteur racial vient saler l’addition.

7- L’islam, lié chez nous à l’immigration massive de ces quarante dernières années, est un facteur déclencheur quasi certain d’une guerre civile, du fait de sa nature et de son histoire – humiliations, agressivité constante, désir de conquête et de revanche, barbaries épouvantables, etc.

8- Le but de l’islam depuis quatorze siècles, sous direction arabe, est la conquête de l’Europe, y compris par la violence. Il leur faut aussi se venger de la honte de l’expulsion de notre continent à deux reprises, puis de la colonisation. Ils ne cesseront pas de nous en vouloir comme par enchantement. Les pays musulmans du Golfe, mais aussi l’Algérie ou la Turquie, sont discrètement parties prenantes dans cette entreprise de conquête.

9- Comme quand on fait face à une fuite d’eau, la solution politique n’est pas ici dans la gestion approximative et temporaire de la fuite, mais dans sa coupure nette, puis dans la décision d’écoper et de pomper.

10- Pour une Nation, surtout si elle a eu l’imprudence d’admettre des immigrés, l’essentiel, à moyen et long terme, est de s’assurer une démographie autochtone de renouvellement des génération.

Guillaume Faye
30/03/2019

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