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Face au Covid-19, l’urgence de restaurer la priorité nationale

Face au Covid-19, l’urgence de restaurer la priorité nationale

Par André Posokhow, consultant ♦ Dans ce texte au vitriol, André Posokhow, fidèle contributeur de Polémia, n’hésite pas à proposer plusieurs mesures choc pour permettre à la France de surmonter la crise sanitaire qu’elle traverse. Si ces mesures pourront sembler excessives à certains, notamment aux apôtres forcenés du « vivre-ensemble », il n’en reste pas moins que ce sujet mérite d’être débattu.
Polémia


La crise sanitaire exceptionnelle du Covid-19 a mis à nu l’autonomisation de parties entières du territoire français occupées par des populations allogènes, administrativement françaises ou non, qui refusent de se plier au confinement imposé par le gouvernement français, sapant ainsi gravement son efficacité.
Or, les prévisions d’extension de la pandémie en termes de nombre d’infectés et de morts, certains parlent de centaines de milliers, posent la question du comportement de ces populations lorsque, oubliant qu’Allah est censé les protéger, elles trouveront des vertus aux soins hospitaliers des pays chrétiens, notamment chez nous.
Cette question, Riposte laïque par la voix de Pierre Cassen l’a posée crûment hier matin. Dreuz info a parlé de revenir à la préférence nationale, concept mis en exergue par le Club de l’Horloge dans les années 80 et violemment diabolisé depuis. Il faudra cependant la trancher.

La crise sanitaire exige des choix cruciaux

L’ignorance, l’indifférence arrogante, l’incompétence et la corruption idéologique ont aveuglé l’oligarchie dirigeante, responsable de la santé des Français : président de la République, ministres, médecins-experts, médias. Elle a négligé les avertissements et les exemples asiatiques et perdu près de deux mois avant de commencer à percevoir l’ampleur du danger et à agir.

C’est ainsi que notre pays se trouve aujourd’hui en déficit lourd des moyens indispensables à sa guérison : masques, tests, aide à la respiration. Nous manquons dramatiquement de lits d’hôpitaux et les services spécialisés sont en trop-plein. La querelle gauloise hallucinante sur la chloroquine fait obstacle à une production de masse de cette médication dont, pourtant, le coût est très faible.

Nous manquons également de soignants et de médecins spécifiquement français ; merci à ceux qui ont institué le numerus clausus. C’est à un point tel que les Allemands se vantent de récupérer des malades alsaciens. Suivez leur regard. Les Suisses le font également mais, plus délicats, en toute discrétion.

Face ce flux torrentiel de malades et de mauvaises nouvelles, et face à cette carence de moyens, il est clair qu’il va falloir procéder à des choix. Déjà, comme en médecine de guerre, c’est le cas entre les moins malades et les plus gravement touchés, entre les jeunes et les gens âgés. Visiblement les EHPAD sont en première ligne des pertes.

Mais le grand choix à venir est entre les Français et ceux qui ne le sont pas.

La démarche d’appropriation de notre système hospitalier par les allogènes

Nous ne mettons pas en cause les naturalisés assimilés et sincèrement attachés à notre pays, à sa civilisation et à ses institutions Selon Pierre Brochand, ils représenteraient 6 à 10 % des immigrés.

Mais pour les immigrés étrangers, les MIE-MNA, les demandeurs d’asile, les clandestins… notre système hospitalier constitue une aubaine. Il suffit de se trouver dans une salle d’attente d’une clinique privée chic de Neuilly pour voir ces familles maghrébines qui amènent l’aïeule en provenance directe du bled pour consulter les meilleurs spécialistes. Alors les hôpitaux !

Les urgences hospitalières sont trop souvent conquises et occupées de force par des intrus violents qui exigent de passer avant tout le monde et imposent leurs tabous à l’égard de leurs femmes. Ils sont chez eux et pas nous. Avant même tout virus, le dispositif national des urgences a explosé, en partie pour ces raisons.

Mais il n’y a pas que les soins. L’appropriation vise également la Sécurité sociale. C’est la fameuse affaire des 2 millions de cartes Vitale en surnombre du juge Prats et de la sénatrice Goulet. Nous renvoyons le lecteur à la série d’articles de Polémia sur la fraude sociale.

Fraude sociale. Un rôle de l’immigration significatif mais difficile à chiffrer

Rappelons également les créances impayées de la France au titre de soins.

Le dispositif sanitaire de la Seine Saint Denis est débordé et ne fait plus face, comme quoi il y a, au bout du compte, des protections plus efficaces que d’autres.

La Seine-Saint-Denis, département pilote de la tiers-mondisation de la France

P.Cassen rend compte qu’à Pontoise c’est en masse que les « jeunes » arrivent en milieu hospitalier. Mieux, il indique qu’à Marseille 70 % des lits de réanimation sont occupés par des Comoriens !

Si la pandémie devient galopante avec une progression exponentielle du nombre des hospitalisés, on peut s’attendre subitement à un grand remplacement des patients français par des allogènes moins confinés par indiscipline et plus nombreux dans un climat d’exigence arrogante et probablement de violence extrême.

La protection des Français par la préférence nationale

Pour protéger les Français face à cette menace à la fois sanitaire et d’ordre public, il faut quitter, au moins dans les actes, ce que l’on appelle la société des individus, rétablir le concept de citoyenneté dans toute son acception et revenir à la préférence nationale.

  • Ne soigner en priorité que des personnes titulaires de la nationalité française.
  • Accepter aux soins des allogènes binationaux en second rang. La binationalité constitue un problème grave pour le destin français que Polémia soulève depuis plusieurs années.
  • Accepter en troisième rang les immigrés étrangers disposant de papiers en règle, d’un contrat de travail en cours et de moyens de paiement immédiat des soins.
  • Refuser de traiter le cas de tout individu non muni de papiers en règle.
  • Ne pas accepter de prendre en charge les allogènes en prison et ceux élargis abusivement par Belloubet.
  • Arrêter les régularisations et les naturalisations.

Bien évidemment cela sera difficile à mettre en œuvre. Par exemple il n’existe pas en France de registre des binationaux. Merci les complices !

Rappelons tout de même qu’il s’agit, peut- être dans un avenir proche, de la santé et surtout de la vie de milliers de Français, voire plus

Bien entendu cela devra se faire en liaison avec la police, la gendarmerie, l’Armée peut être avec des vigiles. C’est là que l’on peut regretter l’absence d’une Garde nationale à l’exemple des Etats unis.

Quant à l’état d’urgence il ne suffira probablement pas.

Des dirigeants capables dans lesquels les Français aient confiance

Pour surmonter cette crise la France a besoin de dirigeants capables d’exercer leur métier politique avec compétence et courage et en mesure d’inspirer la confiance des citoyens sans invoquer une prétendue unité nationale à laquelle, seuls, des journalistes de cour font semblant de croire.

A l’évidence ce n’est pas, aujourd’hui, le cas de la bande affectée au pouvoir, instigatrice et complice de l’invasion. Quelques exemples.

Les administrations et les services des préfectures sont fermées sauf pour ce qui a trait au droit d’asile On voit où sont les priorités.

Les pouvoirs publics et les tribunaux sont en train de vider les Centres de Rétention Administrative (CRA), noyau d’une politique efficace de refoulement et d’éloignement des clandestins et des déboutés du droit d’asile. Où sont passés ces refoulés ? Et ne s’agit-il pas en réalité, à terme, d’une fermeture temporaire puis définitive ?

Comme elle l’a fait pour des djihadistes, Belloubet a entrepris de libérer des milliers de prisonniers de droit commun au détriment des Français qui vont souffrir des exactions que l’on peut attendre de ces gens-là.

Par idéologie pure, Macron a refusé de fermer les frontières avec des explications et des arguments pour demeuré mental.

Enfin, si l’on en croit les vidéos de Dupont Aignan, face aux carences graves et urgentes en équipements médicaux de tous types qui exigent énergie et rapidité de réaction, celui qui fait fonction de premier ministre n’oppose que réponses dilatoires et refus gênés aux demandes formulées par des chefs de l’opposition pour nationaliser et relancer des entreprises françaises de fabrication de ces équipements.

Mais ce n’est pas seulement la clique actuelle qui devrait rendre des comptes aux Français c’est, en réalité, la classe politique qui dirige la France à son profit depuis plus de 40 ans. Ce sont ceux que Roufiol appelle les traitres sans les citer nommément ; la gauchosphère, « putain de l’Islam », la droite molle, les réseaux qui détruisent la famille et la société, les lobbys ethniques, les corrompus par les Emirats arabes, les européistes fanatiques, les young leaders, les organisateurs et complices de l’invasion migratoire, les ONG et autres organisations immigrationnistes, les marionnettes de Soros, le gouvernement des juges avec une palme d’or pour le Conseil d’Etat, les journalistes gaucho-collabos, les profiteurs de l’idéologie totalitaire climatique et du saccage de notre patrimoine culturel et paysager par l’éolien industriel.

La liste est immense.

En conclusion

Que la pandémie tourne pour de bon à une forme moderne de la peste noire et à une catastrophe en nombre de morts n’est, il faut le souligner, qu’une hypothèse entre autres. Après tout des épidémies récentes se sont arrêtées d’un coup.

Mais c’est une éventualité qu’un pouvoir responsable devrait prévoir et anticiper en posant des principes de préférence nationale, en établissant un plan d’action et en se donnant les moyens humains et matériels pour dominer la situation.

Que les choses soient clairement dites, ils n’en feront rien. Sauf miracle les pantins des palais de la République qui sont décrédibilisés, autrefois on disait déshonorés, ne sortiront pas de la communication et de leurs mensonges habituels.

Peut-être même qu’au fond d’eux-mêmes ils n’éprouvent pas un chagrin intense de voir disparaitre des Français méprisés et détestés.

André Posokhow
05/04/2020

Source : Correspondance Polémia

Crédit photo : Domaine public

André Posokhow

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