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Le vrai visage de Manuel Valls : un dangereux menteur mondialiste

Le vrai visage de Manuel Valls : un dangereux menteur mondialiste

« La double personnalité de Manuel Valls est démasquée. »

À peine le livre d’Emmanuel Ratier, Le Vrai Visage de Manuel Valls, était-il sorti que Polémia publiait un compte rendu d’entretien avec l’auteur. En effet, comme le dit si bien Cyrano (de Riposte Laïque) dans son édito ci-après, la grande presse est restée muette et il y a peu de chances que le livre ait un succès autre que souterrain. La double personnalité de Manuel Valls est démasquée. Le premier ministre actuel s’est littéralement forgé un faux passé, s’aménageant des cursus évolutifs au cours de sa carrière politique et il est heureux que quelques sites comme Riposte Laïque et ceux cités en début d’article soulèvent le voile de l’omerta médiatique. Il faut que les Français sachent que leur pays est entre les mains d’un menteur, sinon d’un imposteur dont les convictions idéologiques sont à la merci des circonstances : que dire de son engouement pour les Palestiniens abandonnés sans préavis au bénéfice d’Israël ? que penser de l’ancien franc-maçon Valls, ami intime d’Alain Bauer, ancien Grand Maître du Grand Orient de France, représentant la France aux cérémonies vaticanes de la canonisation de deux papes ?
Voyons comment Cyrano traite notre « serial menteur » national.
Polémia

Il y a vraiment deux presses, et la sortie du livre d’Emmanuel Ratier, Le Vrai Visage de Manuel Valls, le confirme encore une fois.

Jusqu’à ce jour, silence radio sur les grands médias, écrits ou télévisés. Par contre, la presse internet, que cela soit TV Libertés, Fdesouche, Nouvelles de France, Polémia…, a mis le paquet pour promouvoir l’ouvrage.

Ce livre est-il la bombe annoncée, qui va déstabiliser le nouveau premier ministre ? Il ne faut pas prendre ses désirs pour des réalités. On y a la confirmation qu’il s’est inventé de toutes pièces un passé bien éloigné des réalités. Loin d’être le pauvre fils d’immigré espagnol qui a fui le pays de Franco, on a à présent les preuves que Manuel Valls est issu d’une des plus riches familles catalanes, que son grand-père était le fondateur d’un journal catholique conservateur, que sa mère était suisse, enrichie par le trafic d’or, et que son père, loin d’avoir fui le caudillo, a multiplié les allers et retours de l’Espagne en France, vendant ses toiles à des musées ibériques. Comment expliquer que cette fable ait pu tenir, quand on sait que le fils de « réfugié antifranquiste » est né à Barcelone, en 1962 ?

On sait donc, à présent, que le premier ministre de la France est un homme capable d’inventer de grossiers mensonges, pour peaufiner une image présentable, mais juste fausse, d’héritier d’une famille victime du fascisme. Cela provoquera-t-il un tremblement de terre ? Dans beaucoup d’autres pays, il ne pourrait plus mettre les pieds sur un plateau de télévision sans être questionné sur la grossièreté de ce mensonge. On s’interrogerait sur la crédibilité d’un homme qui, aux manettes de la France, est capable de mentir au Parti socialiste, mais aussi aux Français, avec un tel aplomb et un tel cynisme. Si nous étions dans une vraie démocratie, il serait contraint de démissionner au plus vite. Qui peut croire réellement qu’en France, cela se passera ainsi ?

L’autre élément intéressant de l’interview de Ratier concerne le rapport de Manuel Valls à Israël et à la cause palestinienne. Certes, certains détracteurs pourront dire que l’auteur du livre est spécialisé dans la dénonciation de l’influence judéo-maçonnique. Mais, au-delà des intentions supposées de ce journaliste-éditeur, il y a les faits. Ratier nous montre, documents à l’appui, que Valls était sans doute le socialiste le plus engagé – il utilise le terme « fanatique » – pour la défense de la cause palestinienne, jusqu’en 2009. Et depuis, avec sa célèbre phrase « Je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël », il a opéré un virage à 180 degrés. Ce qui serait intéressant, si nous avions des journalistes et non des militants politiques sur les plateaux de télévision, serait qu’on lui demande de s’expliquer. Un homme a le droit de changer d’avis, mais surtout, quand il occupe des responsabilités nationales, le devoir d’en expliquer les raisons. Que son mariage avec la violoniste Anne Gravoin lui ait ouvert les yeux sur la question palestinienne, pourquoi pas ? Mais qu’il nous en donne les raisons !

Nous avons la confirmation que Valls n’est rien d’autre qu’un Sarkozy de gauche, avec lequel il partage beaucoup de points communs, et notamment le fait de se précipiter au Vatican pour la canonisation de deux papes, ce qui n’est absolument pas la place d’un ministre d’une République laïque. Quand on se rappelle les hurlements « laïcs » du Parti socialiste quand Sarkozy avait fait la même chose, en 2010… c’est, comme l’ancien président de la République, un agent du mondialisme, de la disparition des États-nations, et la mise en place d’une société sans frontières, où capitaux, marchandises et personnes circulent librement, comme le réclament tous les Attali du monde.

Valls fait partie de ces bureaucrates socialistes qui n’ont jamais travaillé dans la vraie vie. A 20 ans, il était déjà jeune rocardien, et formait un trio inséparable avec Stéphane Fouks et Alain Bauer. L’un fera carrière comme communicant politique, et aurait dû animer la campagne DSK. Il siège dans les instances du CRIF. L’autre fut le Grand Maître du GODF, et devint conseiller de Sarkozy. Cela aide à avoir des réseaux. Valls évoluera, il deviendra conseiller politique de Jospin (pourtant ennemi de Rocard), ira vers Ségolène Royal, fera le plus petit score à la primaire socialiste (6%) et se retrouvera pourtant porte-parole de Hollande. On connaît la suite.

C’est un homme qui a montré, en 2005, lors du vote sur le TCE, son opportunisme et son absence totale de scrupules. D’abord partisan du « non », il s’est ensuite rallié au « oui », prétendument pour sauver son parti. Autrement dit, les intérêts du PS avant ceux de la France ! Il n’a jamais caché, au niveau économique, des orientations qui peinaient à le différencier de la droite la plus libérale.

Personne n’a oublié son grave échec, comme ministre de l’Intérieur, où, malgré de grossières manipulations de chiffres, chacun a pu constater que les agressions étaient de plus en plus nombreuses, les policiers de plus en plus livrés, impuissants, à la racaille, avec un ministre qui ne les protégeait pas. Nul n’a oublié ses grossières manipulations contre les militants de La Manif pour Tous, les ordres donnés à Boucault pour diviser le nombre de manifestants par trois, voire par quatre, et la violence policière contre de paisibles citoyens, à comparer avec la passivité et l’impuissance des forces de l’ordre face aux racailles en général, aux émeutiers du Trocadéro et aux antifas de Nantes en particulier.

Que dire de la souricière tendue aux manifestants, là encore paisibles, de « Jour de Colère », et au nombre d’arrestations, totalement abusives, opérées ce jour là. Enfin, cerise sur le gâteau, il a entrepris de vouloir faire interdire des spectacles de Dieudonné, mettant pour cela gravement en danger les libertés publiques, dont le droit de réunion, de manifestation.

Lors de l’affaire Méric, alors qu’il avait en sa possession les vidéos montrant que la victime était bien l’agresseur, il les a gardées sous le coude, laissant un mois durant la presse se déchaîner contre Esteban et Samuel, toujours en prison à ce jour. Il en a profité pour dissoudre des groupes nationalistes que personne ne connaissait mais qui ne représentaient absolument pas un danger, tout en laissant les antifas accumuler agressions et actes de vandalisme en toute impunité, et des associations musulmanes prôner de plus en plus ouvertement le jihad.

Nous n’oublions pas que Manuel Valls, en dehors d’aller baiser l’anneau du pape à Rome, a multiplié les atteintes graves à la laïcité, depuis qu’il était en poste place Beauvau. Il a inauguré, violant ainsi la loi de 1905, les mosquées de Cergy et de Strasbourg. Il a multiplié les ruptures du jeûne du ramadan et les messages de solidarité aux musulmans, au premier graffiti laissé sur une mosquée, quand il n’avait mot quand les Femen attaquaient des lieux de culte catholiques. Il est surtout celui qui, au sein du PS, milite le plus ardemment en faveur du financement public des mosquées. C’est un ennemi de la laïcité et de la République qui sévit, à présent, à Matignon.

C’est enfin un homme qui n’arrête pas de parler de République, pour mieux la galvauder, et qui multiplie, de manière haineuse, les agressions contre ses adversaires politiques, n’hésitant pas à faire le coup de l’extrême droite.

Il a tellement l’esprit républicain qu’il permet à sa femme, Anne Gravoin, de faire sauter sur le champ une amende de 22 euros pour une de ses amies, mal garée devant le domicile princier, et qu’il s’était octroyé, en toute illégalité, une prime de 1.700 euros en tant qu’élu d’Évry…

Et surtout, n’oublions pas qu’il est l’homme qui, avec une brutalité sans nom, va, comme un fidèle caniche de la commission européenne, faire les poches des Français, tout en continuant à favoriser une immigration de masse et à accélérer le changement de civilisation et de peuple.

Le vrai visage de Manuel Valls, c’est donc celui d’un ennemi de la France, d’un imposteur socialiste et d’un agent du mondialisme financier.

Il faut donc s’en débarrasser au plus vite, et d’abord mettre une telle avoinée au PS (et aux autres européistes), le 25 mai prochain, que leur maintien au gouvernement va relever de la mission impossible.

 Cyrano
Source : ripostelaique.com
28/04/2014

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