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a mis en ligne une vidéo sur le thème « De l’immigration à l’invasion ? » Cette conférence a été prononcée par Jean-Yves Le Gallou, en juillet 2010, à l’Université d’été de Renaissance catholique consacrée à l’Identité nationale. Il s’agit là d’un point précis, complet et sans concession sur la question de l’immigration. Polémia en présente ici un court résumé ainsi qu’un lien vers la vidéo (voir en fin d'article).
Polémia
Dès 1991, Valéry Giscard d’Estaing avait évoqué, dans le Figaro Magazine, le risque que l’immigration ne se transforme en « invasion ». Selon la définition des dictionnaires, toutes les invasions ne sont pas guerrières. On peut aussi parler d’invasion lors d’arrivées de personnes en grand nombre (« invasions de touristes », par exemple). L’action d’envahir correspond aussi au fait de « se répandre dangereusement ».
Une immigration « subie » et non « choisie »
Deux remarques ici s’imposent :
L’immigration est donc d’abord le résultat d’un très grand nombre de décisions individuelles étrangères : immigration nuptiale (à hauteur de 50.000 cas par an), immigration d’étudiants, regroupement familial, immigration « humanitaire ».
Les étrangers clandestins sont aussi en nombre croissant puisque l’Aide médicale d’Etat dont ils bénéficient concernait 74.000 cas en 2000 mais 204.000 en 2009, soit trois fois plus.
Et ce, sans parler de l’outre-mer où Mayotte et la Guyane sont littéralement submergées : Saint-Laurent-du-Maroni et Mamoudzou étant les premières maternités de France par le nombre de naissances.
Des mouvements migratoires ni toujours pacifiques, ni toujours amicaux
Or, force est de reconnaître que ces mouvements migratoires ne sont ni toujours parfaitement pacifiques, ni toujours parfaitement amicaux.
L’islam notamment impose ses mœurs : vestimentaires (voile), architecturales (mosquées, coupoles et minarets) et ses interdits alimentaires (halal). Aux siens d’abord, ce qui est une vision communautariste des choses, mais aussi aux autres, ce qui est un processus de colonisation agressive.
Dans les quartiers à forte immigration on constate aussi fréquemment des comportements de prédation. Dans les prisons françaises, plus de la moitié des détenus sont musulmans. Heureusement, depuis la spectaculaire sortie d’Eric Zemmour, il n’est plus médiatiquement possible de nier le lien entre délinquance et immigration.
Ainsi les conclusions sont évidentes : l’immigration est un phénomène massif (nos amis suisses parlent à juste titre « d’immigration de masse ») ; c’est un phénomène subi plus que souhaité par le pays d’accueil ; c’est un phénomène qui présente des aspects de prédation. Il n’est donc pas linguistiquement illégitime de parler d’invasion.
Jean-Yves Le Gallou - De l'immigration à... par Agence2Presse
Différentiel de pressions : démographique, sociale, morale
Cette immigration/invasion s’explique par la mise en œuvre de différentiels de pression :
Acteurs et complices de l’immigration/invasion
Cette invasion a des acteurs :
Cette invasion a aussi des complices : les hommes politiques et les chefs syndicalistes qui savent mais se taisent.
Le basculement idéologique : sortir du carré carcéral de l’idéologie dominante
Les remèdes ne sont ni technologiques, ni administratifs, ni même politiciens. La mise en œuvre d’une vraie solution suppose un basculement idéologique : sortir du carré carcéral de l’idéologie dominante.
Ceci devrait s’accompagner de l’application du principe de précaution : ne pas accepter d’immigration nouvelle en provenance de pays dont beaucoup de ressortissants présents en France ne sont pas pleinement assimilés.
Les conditions d’un basculement sont en train d’être réunies :
Jean-Yves Le Gallou
3/11/2011
Voir aussi :
La submersion migratoire : problématique nationale, problématique européenne ?
Colonisation de peuplement arabo-musulmane : la preuve par les mariages
L'hallalisation : signe d'une islamisation de plus en plus visible et totalitaire
L'économie de l'immigration
Et aussi :http://www.renaissancecatholique.org/
Image : Jean-Yves Le Gallou