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J’ai fait un rêve : un nouveau président règle le problème de l’immigration

J’ai fait un rêve : un nouveau président règle le problème de l’immigration

par | 28 mai 2013 | Politique

Semaine d’émeutes raciales en Suède. Assassinat d’un militaire britannique par un islamiste. Tentative de meurtre d’un soldat français en mission Vigipirate sur l’Esplanade de la Défense. Emeutes du Trocadéro. La présence en Europe d’une immigration inassimilable pose des problèmes gravissimes. Par son geste sacrificiel, l’historien Dominique Venner a voulu réveiller les « consciences endormies ». Dans le texte qui suit, Henry de Lesquen expose les changements nécessaires pour interrompre les flux migratoires. La lucidité exige la radicalité.
Polémia

Je ne me prends pas pour Martin Luther King. Mais j’ai fait un rêve : les Français avaient élu à la tête de l’Etat un homme qui partageait nos convictions. Et je voudrais vous raconter ce qui s’est passé dans mon rêve.

Premier acte : réforme de la constitution

Dès qu’il prend ses fonctions, le nouveau président désigné par le destin pour sauver la France entreprend de grandes réformes pour régler le problème de l’immigration dans des conditions moralement et humainement irréprochables, comme le dit la devise de l’association Voix des Français (www.vdfr95.com). Son premier acte est de modifier la constitution par référendum pour que le peuple français recouvre l’exercice de la souveraineté.

D’abord, il est stipulé que la loi française l’emporte sur les dispositions des traités et les normes du droit international, fût-il européen. Il n’est donc plus question que nos lois subissent la censure de la cour de justice de l’Union européenne ou de la Cour européenne des droits de l’homme. Tout juge qui prétendrait le contraire se rendrait coupable de forfaiture (crime qui est réintroduit dans le code pénal).

Ensuite, l’usage du référendum est consacré et généralisé. Toute loi votée par le Parlement peut être soumise à référendum par le président de la République. Un référendum d’initiative populaire a lieu pour toute proposition de loi présentée par 1% du corps électoral.

Il est expressément stipulé que la loi adoptée par référendum ne peut être censurée par le Conseil constitutionnel ni par aucun autre juge, puisqu’elle émane directement du peuple.

Enfin, toute décision du Conseil constitutionnel peut être cassée ou réformée par décision du président de la République, lequel soumet sa décision à l’approbation du peuple par référendum ou à celle du Parlement réuni en congrès et votant à la majorité qualifiée.

Second acte : grande loi sur l’immigration

Le second acte du président de la République est de soumettre au peuple, par un nouveau référendum, une grande loi sur l’immigration, qui comporte huit volets :

  • Primo, la législation antiraciste est abrogée en vue de rétablir non seulement la liberté d’expression, mais aussi l’indispensable liberté de discrimination ;
  • Secundo, la préférence nationale est instituée dans tous les domaines : emploi, prestations sociales, logement… ;
  • Tertio, les contrôles aux frontières sont rétablis, le Traité de Schengen dénoncé ;
  • Quarto, le droit de la nationalité est réformé, pour que ne subsistent plus que deux voies d’accès à la nationalité française : le jus sanguinis, droit du sang, pour les enfants de parents français ; et la naturalisation par décret après vérification de l’assimilation du candidat. En outre, le gouvernement est chargé de réexaminer le statut des millions de Français de papier et invité à les déchoir de la nationalité française en cas d’indignité, de binationalité ou de défaut d’assimilation ;
  • Quinto, le droit de séjour des étrangers est réformé. Ceux-ci sont tous tenus de demander une autorisation de séjour, qui leur est accordée discrétionnairement et pour un temps déterminé. Elle peut leur être retirée à tout moment, sans qu’aucun juge ait qualité pour s’y opposer. L’immigration étant désormais considérée comme une faveur révocable ad nutum, toutes les dispositions qui faisaient obligation à la France de recevoir un étranger sont déclarées nulles et non avenues, sans exception, notamment le droit d’asile et le regroupement familial, mais aussi les règles de l’Union européenne dont bénéficient les ressortissants de pays membres, comme les Romanichels venus de Roumanie ou d’ailleurs ;
  • Sexto, tout étranger peut être expulsé de France par simple arrêté préfectoral, lequel est considéré comme un acte de gouvernement et ne peut être contesté devant les tribunaux. L’étranger peut être mis en détention administrative ou relégué dans une partie du territoire français dans l’attente de son expulsion, à moins qu’il ne parte de lui-même ;
  • Septimo, l’immigration illégale est réprimée. Les soi-disant « sans-papiers » sont des délinquants passibles d’un an de prison en vertu de la loi qui était déjà en vigueur avant l’élection du nouveau président (article L. 621-1 du Code des étrangers). Ils ne sont pas poursuivis, sauf exception, à la première interpellation, mais mis en détention administrative avant leur expulsion. Condamnés par le tribunal correctionnel, ils sont effectivement emprisonnés s’ils récidivent en revenant en France et sont ensuite expulsés après avoir exécuté leur peine de prison ;
  • Octavo, les immigrés illégaux ne bénéficient plus d’aucune aide. Ces hors-la-loi ne peuvent plus recevoir la moindre aide publique, sous quelque forme que ce soit (allocations, logement, école, soins…). L’Aide médicale d’État est supprimée. En outre, les particuliers qui leur fournissent un emploi, un logement ou une assistance quelconque, ne serait-ce qu’en s’abstenant de les dénoncer à la justice, sont systématiquement poursuivis par le procureur de la République pour complicité ou recel de preuves. Les associations ou organisations qui viennent en aide aux immigrés illégaux sont dissoutes par décret.

Départ de deux millions d’immigrés en cinq ans

Les progrès sont alors très rapides sur le front de l’immigration. Les immigrés illégaux sont nombreux à quitter la France d’eux-mêmes, n’y trouvant plus ni assistance ni emploi ni logement. S’ils restent, ces hors-la-loi sont mis en détention aussitôt qu’ils sont interpellés, avant d’être expulsés manu militari ou relégués en Guyane si aucun pays n’accepte de les accueillir.

Les immigrés en règle sont obligés de s’en aller quand leur autorisation de séjour est expirée ou si elle est rapportée. Sinon, ils rejoignent les rangs des immigrés illégaux, avec toutes les conséquences que cela implique.

Grâce à cette politique de salut public, le nouveau président réussit à faire partir de France deux millions d’immigrés en cinq ans. Le rêve !

 Henry de Lesquen
Président de Voix des Français
27/05/2013

 Cet article, publié dans Voix des Français n° 128 de novembre 2010, a été modifié le 27 mai 2013.

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